Numérisation et gestion de patrimoine

Numérisation et gestion de patrimoine

Les directeurs de services généraux, les responsables immobiliers, les directeurs de services techniques ont toujours souhaité pouvoir disposer d’outils permettant une cartographie

exacte des surfaces de bureaux, des quantités de mobilier, d’appareils techniques dont ils disposent : un outil de gestion de patrimoine.

Pour accomplir ces tâches et disposer d’un repérage quantitatif (immobilier et mobilier) ainsi que d’une géolocalisation des équipements techniques, ils disposent d’outils performants. Souvent trop performants, trop complexes à gérer au jour le jour. Ces outils de gestion de patrimoine sont essentiellement constitués autour d’une base de données qu'il faut renseigner, mettre à jour, vérifier. Les données doivent être croisées afin d’en garantir la fiabilité et ce travaille est aussi complexe que l’outil lui-même. Ces logiciels sont souvent constitués d’un ensemble de plugins se greffant les uns aux autres avec autant de plugins que de données à gérer. On se retrouve alors avec un outil permettant de gérer la flotte automobile, les réservations de salles, les travaux, les déménagements internes, le mobilier, les surfaces et l’ensemble devient ingérable.

J’ai eu l’occasion de croiser des grands acteurs de l’immobilier, des groupes avec un patrimoine foncier important, des constructeurs automobiles ou aéronautiques. Les deux premiers n’avaient pas une idée exacte de la surface de leur patrimoine, ni même du nombre d’immeuble en leur possession, les seconds « géraient » les surfaces avec des systèmes hétérogènes d’un bâtiment à l’autre (les données ne pouvaient pas être concaténées ou exploitées). La complexité de ces outils et leur faible qualité graphique finissaient par avoir raison d’une gestion rigoureuse du parc immobilier ou mobilier.

Avec l’arrivée de la maquette numérique et surtout du BIM, les choses changent. On dispose d’un outil qui intervient à la naissance du bâtiment. Il participe aussi bien à la conception qu’à la réalisation de l’ouvrage et plus encore, il en permet sa maintenance. Le BIM « en exploitation » profite de l’apport de chaque intervenant aux niveaux de la conception du bâtiment. De l’architecte, aux lots techniques en passant par le space planner,  chacun apporte littéralement sa pierre à l’édifice lors de la phase de conception.  Aussi en phase GEM (Gestion-Exploitation-Maintenance), l’ensemble des données indispensables sont en place. Plus besoin de faire apple à d’autres solutions logicielles.

Les logiciels BIM permettent de géolocaliser tels CTA ou appareil d’éclairage, d’avoir in situ les données techniques et de pouvoir les visualiser en 3D. La gestion des surfaces, de leurs occupations, du mobilier qu’elles contiennent est immédiatement prêt à être exploité.

Si le BIM a, en France, du mal à se développer dans le cadre de la réalisation d’immeubles neufs, c’est encore pire dans le cadre de réhabilitation. Pourtant, l’outil sait s’adapter qu’il s’agisse d’éléments techniques ou de second œuvre. Le chantier terminé, livré, la maquette numérique devient un outil de gestion de patrimoine et de maintenance graphique.

iXref peut vous aider à mettre en place ces solutions. Nous réalisons l’ensemble des projets de space planning et d'aménagement des espaces de bureaux sous forme de maquette numérique. Dans le cadre de bâti existant, iXref peut BIMiser votre immeuble et en faire un outil de gestion efficace de vos surfaces avec space planning, re-planning et inventaire du mobilier.

Contactez iXref pour BIMiser votre patrimoine

 

Pour aller plus loin avec le BIM :

https://www.batiactu.com/edito/bim-et-patrimoine-nombreux-avantages-exploitation-44446.php

https://www.hexabim.com/actualite/l%E2%80%99apport-du-bim-en-gestion-exploitation-maintenance-gem